80% des difficultés professionnelles de 2025 de mes clients cadres dirigeants trouvent leur source environ 30 ans plus tôt.
C’est peut être votre cas.
Peut-être dans l’une de ces fois là :
– Cette fois où, enfant, on vous a grondé si fort pour une bêtise que vous en avez conclu que vous n’aviez « pas le droit à l’erreur ».
– Cette fois où on s’est moqué de vous à l’école, et où vous en avez conclu qu’il valait mieux « ne jamais plus risquer d’être ridicule ».
– Cette fois où un parent paniqué vous a crié très fort dessus, et où vous en avez conclu qu’un conflit n’était jamais très loin.
Ces moments d’émotions intenses, on ne s’en souvient plus vraiment.
Mais ils laissent une empreinte émotionnelle dans notre inconscient.
Plus de 30 ans plus tard, les émotions affleurent parfois à vif sous la surface.
On n’a jamais fait le lien.
Mais on a l’impression d’avoir « toujours été comme ça ».
Quelqu’un qui a toujours eu peur…
du conflit,
de l’échec,
de décevoir,
des critiques,
de se tromper,
de prendre la parole en public…
Et ces blessures choisissent des moments anodins du quotidien pour se raviver :
– Cette évaluation annuelle où on vous fait une remarque qui éveille un tsunami émotionnel en vous,
– Cette réunion où vous avez la gorge serrée et où vous n’osez pas prendre la parole de peur de dire une bêtise,
– Cet échange avec un collaborateur auquel vous n’osez pas faire un feedback car cela provoquerait un conflit.
Ces blessures, on peut apprendre à « faire avec », et parfois c’est OK.
Mais on peut aussi les refermer :
pacifier les blessures de notre enfant intérieur.
Et ça peut tout changer pour la suite :
Réparer enfin notre confiance en nous,
et notre capacité à oser prendre notre place avec assurance au travail
– et dans notre vie.
C’est ce qu’on peut faire avec le coaching de l’inconscient, grâce aux outils de la PNL à laquelle je suis certifiée, et que j’utilise en coaching.
Ne plus laisser les blessures du passé dicter notre trajectoire professionnelle, c’est se remettre aux commandes pour plus de liberté.
