Les ‘bons élèves’ misent exclusivement sur leur performance pour espérer évoluer au travail.
Alors que ceux qui progressent le mieux, eux, investissent sur 2 autres facteurs.
De nombreux ‘bons élèves’ ont été biberonnés à l’idée du mérite :
bien travailler, et la réussite sera récompensée.
Ce fonctionnement leur a longtemps réussi, à l’école ou jeunes actifs.
Mais les règles du jeu du monde pro sont différentes :
– Pour accéder aux rôles de direction, le mérite ne suffit pas
– Pour être recruté en externe, un beau CV non plus
– Pour lancer un projet entrepreneurial, cravacher seul ne mène pas loin
Ce qui a le plus d’impact dans l’évolution de carrière, devant la performance seule, ce sont :
1. La gestion de la réputation = Image
2. La visibilité = « Exposure »
Et donc la gestion proactive de son réseau et de son influence.
C’est ce que démontre Harvey Coleman dans son best seller :
‘Empowering Yourself: The Organizational Game Revealed’,
où il théorise le modèle PIE (Performance – Image – Exposure).
Il invite les ‘bons élèves’ à mettre moins de temps et d’énergie sur la performance seule.
Et de rebasculer ces ressources vers les autres facteurs de réussite.
Examiner et rééquilibrer les ratios de son modèle PIE :
c’est reprendre les commandes de son évolution de carrière.
Et arrêter de laisser les « beaux parleurs » monter à votre place.
Mais quand on n’aime pas ça,
Qu’on ne veut pas déranger,
Qu’on ne se sent pas légitime pour solliciter les autres :
Ça peut paraître une montagne.
Pourtant ce n’est pas une fatalité :
Ca se débloque et se travaille très bien.
En commençant par alléger les peurs et les schémas limitants qui entravent notre capacité à nous rendre visible et à interagir.
Car ensuite : le plan d’action, ça devient presque une formalité.
Si vous sentez que c’est le moment de faire sauter ces verrous, c’est ce que j’aide mes clients à faire grâce au mix de coaching conversationnel et de coaching de l’inconscient.
