Le juste curseur de la responsabilité

Cette erreur a un coût astronomique en énergie mentale. On est nombreux à la faire, surtout les perfectionnistes ambitieux…

Mal évaluer là où commence et là où s’arrête notre responsabilité.

1. Soit on en prend TROP,
sur des sujets hors de notre contrôle :

– Se mettre la pression pour réussir parfaitement sans les ressources adaptées,
alors qu’on ne peut pas faire en 35H ce qui en demande 300.

– Endosser 100% de la responsabilité de la réussite de nos relations,
alors qu’elles se dansent à 2.

– Prendre la charge du bien-être émotionnel des autres,
alors qu’ils sont seuls responsables de leurs émotions (et nous des nôtres).


2. Soit on n’en prend PAS ASSEZ:
et on délègue notre pouvoir d’action :

– Omettre de clarifier explicitement nos attentes aux autres,
puis être frustré quand ils passent à côté

– Ne pas demander l’aide dont on a besoin,
car on a l’impression qu’il faudrait réussir seul pour que cela soit valide

– Oublier d’exprimer nos besoins et aspirations à notre boss,
et être déçu quand on n’a pas pensé à nous pour la promotion.

Rééquilibrer et prendre sa « juste responsabilité »
c’est une piste sous-exploitée pour trouver plus de sérénité au travail.

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