Etre impliqué dans son travail, oui.
C’est la base pour avoir de l’impact et sentir qu’on progresse et qu’on est stimulé.
Mais être sur-impliqué émotionnellement, c’est là que ça peut vite déraper.
Parce qu’on se met à s’identifier complètement à son travail :
aux remarques de ses collègues,
au feedback de ses boss.
Parce qu’on amalgame sa valeur en tant que personne avec la valeur de la contribution qu’on produit.
Et que ça prend toute la place.
On se met la pression.
C’est oppressant.
Sauf :
1. Qu’on n’est pas son travail, on est bien plus que cela.
2. Que la remarque d’un collègue n’est qu’une opinion qui reflète plus sa propre vision du monde qu’une sentence définitive à notre égard.
3. Qu’un rendu donné n’est que la résultante de nos ressources disponibles à ce moment là, en temps, en énergie, en savoir, en budget; et pas la preuve absolue de notre degré de compétence ou de notre valeur.
L’enjeu, c’est de réussir à voir tout cela comme un jeu.
Un jeu auquel je vous aide à mettre toutes les chances de votre côté pour que vous puissiez le gagner, et que vous preniez même du plaisir à jouer la partie.
Mais un jeu tout de même.
Si vous voulez sortir de la pression émotionnelle contre-productive et vous sentir à l’aise, à votre place, c’est ce que je vous aide à faire en coaching.